L’écologie et les nouvelles technologies

Mandy Dieng « Mon devoir de terrienne »

Mandy est une jeune femme de 25 ans qui vit à Sevran, dans le quartier Montceleux-Pont-Blanc.
“Qu’est ce que je peux faire à mon échelle pour la planète ?”, c’est une question qu’on se pose souvent. Mandy, elle a eu le déclic en voyant les images de l’Amazonie dévastée par le feu. Elle s’est posée la question, et elle a cherché des réponses, qu’elle a trouvées dans son smartphone, sur les réseaux sociaux, grâce à des applications accessibles à tous et toutes.
Aujourd’hui Mandy mène sa transition écologique petit à petit, pour ne pas se décourager. De l’abandon du plastique et du jetable à la fabrication de ses produits ménagers, Mandy nous montre à tous et toutes que ces gestes du quotidien sont à portée de main, et que chaque pas compte.

Rosette Umuhoza « Eveiller les consciences »

Mandy est une jeune femme de 25 ans qui vit à Sevran, dans le quartier Montceleux-Pont-Blanc.
“Qu’est ce que je peux faire à mon échelle pour la planète ?”, c’est une question qu’on se pose souvent. Mandy, elle a eu le déclic en voyant les images de l’Amazonie dévastée par le feu. Elle s’est posée la question, et elle a cherché des réponses, qu’elle a trouvées dans son smartphone, sur les réseaux sociaux, grâce à des applications accessibles à tous et toutes.
Aujourd’hui Mandy mène sa transition écologique petit à petit, pour ne pas se décourager. De l’abandon du plastique et du jetable à la fabrication de ses produits ménagers, Mandy nous montre à tous et toutes que ces gestes du quotidien sont à portée de main, et que chaque pas compte.

L’écologie par transmission

Maria Soares « Je me rappelle de mon pays »

En France depuis plus de 40 ans, Maria est née au Cap Vert. De son enfance, elle se souvient de la terre : planter et récolter ce qu’on mange (manioc, papaye, canne à sucre, patate douce…), pour le lait et les œufs et il y a les chèvres et les poules, pas besoin d’acheter. Aujourd’hui à Sevran au quartier de Rougemont où elle vit, Maria n’oublie pas la terre : elle a une parcelle aux jardins partagés, et y plante coriandre, oignons, tomates, carottes…
Du Cap Vert Maria se souvient aussi de ceux et celles qui n’ont rien, ou pas grand chose, alors à Sevran elle qui a toujours à manger dans son assiette est bénévole active du secours Populaire, et prépare dès qu’elle peut des colis pour son pays d’enfance.

Isabelle Kamariza « Une marche en avant »

Isabelle, 36 ans, est la co-fondatrice et présidente de « Solid ‘Africa », une organisation à but non lucratif, qui opère au Rwanda depuis 2011. La mission première de Solid’Africa est d’aider les patients vulnérables dans les hôpitaux publics, en leur prodiguant gratuitement des repas équilibrés trois fois par jour. Isabelle croit à la préservati on de la dignité du patient et à l’accélération du processus de rétablissement. Pour ce faire, “ Solid’ Africa “ a développé cinq programmes qui permettent de fournir de la nourriture, des produits sanitaires, de payer des factures médicales et d’acheter des médicaments qui ne seraient pas pris en charge par la mutuelle. Elle pense que travailler ensemble pour promouvoir l’équité en santé est une responsabilité partagée.

Quel héritage pour demain ?

Cherifia Bounoua « On est que de passage »

Dans le quartier de Rougemont où elle vit, tout le monde la connaît. Cherifa y crée depuis plusieurs années un “écosystème” avec son association : à chaque besoin rencontré, elle propose une réponse, en y impliquant les gens du quartier. Créer du lien entre les gens, faire en sorte qu’ils s’impliquent dans la vie de leur quartier, organiser un réseau solidaire, ouvrir des espaces d’échanges et de débat sont, entre autres, les objectifs que défend Cherifa. C’est cet héritage qu’elle construit pour le monde de demain, un monde plus solidaire, où l’on s’entraide, où l’on respecte autant son voisin que son environnement, et où on pourrait laisser les portes ouvertes. Nous ne sommes que de passage, à nous de laisser en héritage le monde que l’on souhaite pour qui viendra après.

Christelle Kwizera « Être une source »

Christelle Kwizera est une jeune ingénieure et activiste rwandaise, pour qui l’accès à l’eau potable est un droit humain et une condition fondamentale au développement durable. Un jour, elle a découvert dans la presse, un article qui traitait des dangers à puiser de l’eau dans l’Est du Rwanda. En effet, les enfants couraient le risque d’être mangés vivants par les crocodiles qui vivent dans ces eaux. Elle s’est résolue à résoudre ce problème et crée « Water access Rwanda » pour développer et mettre en œuvre des solutions à l’approvisionnement en eau potable tout en offrant aux jeunes un emploi permanent et valorisant. Aujourd’hui elle permet à plus de 70.000 personnes d’avoir accès à l’eau et rêve d’étendre son entreprise et de partager son modèle avec toute l’Afrique. Son leitmotiv: « Si vous avez une bonne solution à un problème, pourquoi la garder pour vous ? »